Collection Escorte. Comment J’Ai Débuté Dans Le Métier. Fin De La Saison I (4/8)

Tout roule pour moi, mon compte en banque est plein, je viens même de m’acheter une voiture avec laquelle, je pars quelques jours en vacances à la porcherie de papa et maman.
Quand je repars mon père émet le désir de venir me voir à Paris.
Panique.
Avec le pognon gagné avec mes fesses, j’ai emménagé dans un appartement de haut standing près de la tour Effel.
Pour lui éviter qu’il comprenne que sa petite fille chérie est devenue une courtisane je retourne à mon ancienne adresse avec une idée en tête.
La jeune fille qui a repris ma chambre de bonne accepte de me le prêter le temps de leur séjour.
J’ai réussi à donner le change.
Ils viennent de retourner en Bretagne, je rejoins mon appartement, c’est une bordée de jurons qui m’accueille.
Aurélie sait que je me prostitue.

- J’ai une mauvaise habitude de fouiner chaque fois que je suis dans un endroit qui m’est inconnu.
J’ai trouvé dans le tiroir de ta chambre le bail qui est à ton nom.
Ça aurait pu passer si dans ce même tiroir était rangé le petit carnet que tu tiens à jour.
Noms, dates et sommes importantes que tu gagnes sont inscrits.
Quand j’ai trouvé toutes tes tenues de travail du genre, infirmière, avocate, surtout ta tenue d’écolière, sans oublier cerise sur le gâteau, ta tenue sado, j’ai compris que ce sont de nombreux hommes qui te procurent tes revenus.
Dis-moi la vérité, tu es une pute ?
- Bien sûr mais si je t’ai caché mon activité parallèle, c’était par peur que tu partes en courant et que je sois obligée de faire venir mes parents ici et qu’il découvre ce que tu as découvert.
- Je te pardonne, j’ai en vue d’acheter une officine près de Reims dès que j’aurais mes diplômes.
Les anciens proprios veulent prendre leur retraite, j’ai un accord tacite avec eux et j’avais prévu de m’endetter pour vingt ans.
J’aimerais que tu me fasses profiter de tes contacts pour avoir moi aussi des clients qui me remplissent mon compte en banque et éviter ce crédit.


J’ai retourné cette solution dans ma tête les trois jours derniers et je suis prête à franchir le pas.

La seule solution c’est de la tester en rencontrant deux hommes ensemble.
Depuis que j’ai plongé dans ce métier, j’ai rencontré des hommes seules mais jamais deux en même temps.
J’ai une idée que je mets en place dès qu’elle est partie faire des courses.

- Allo Pierre c’est Anabella, j’ai besoin de toi.
- Je t’écoute.
- J’ai une copine qui souhaiterait embrasser le métier que tu m’as obligé à découvrir.
J’aimerais voir si elle est bien prête à tout faire pour satisfaire les clients.
Je gagne mon fric sur ma réputation et je souhaite la garder, il faudrait que tu trouves un copain.
- Je vais demander à Louis, on a déjà partouzé ensemble.
- Tu laisses Louis là où il est, je m’en occupe d’une autre manière.
- D’accord j’ai un autre copain qui sera prêt à payer si je le briffe qu’est-ce que j’y gagne ?
- Je serai à toi gratuitement, elle m’a rendu service dernièrement et je veux la récompenser, vous donnerez vos enveloppes à Véronique et on passera une soirée sympa.
Oui, une dernière chose, vous la bousculez un peu, pour voir si elle a l’étoffe.
- J’ai compris, demain soir neuf heures à l’hôtel gare de Lyon.
- C’est d’accord, je t’appelle s’il y a un problème.

Dès son retour je préviens Aurélie qu’à partir de maintenant elle s’appelle Véronique.

- Ce nom te plaît, il est encore temps d’en changer.
- Non, c’est agréable je préfère cela à Gertrude.

Nous partons d’un grand éclat de rire.

- Demain soir nous avons un rendez-vous avec deux hommes dans un hôtel de la gare de Lyon où je suis déjà allée avec l’un d’eux.
Je lui ai demandé s’il avait un copain et il m’a promis qu’ils seraient deux.
Tu toucheras deux enveloppes de 2 000 €.
Pour les tenues j’ai assez de fringues pour te vêtir sans faire de frais, nous allons tout de même faire quelques achats.

- J’ai bien compris 2 fois 2 000.
- Oui, ce sera mon cadeau.

Elle est déjà habillée, nous prenons un taxi direction Paris où dans une très grande boutique, j’achète une valise identique à la mienne.
Nous passons lui faire faire des cartes au nom de Véronique masseuse et pour finir nous allons à Pigalle où dans un sex-shop j’achète les mêmes godes et autres boules à bouches que ceux dont je me sers.
Nous retournons chez moi.

- Tu es parée, demain soir ce sera un grand jour pour toi.

Pour me remercier elle me saute au cou et m’emballe littéralement.
C’est la première fois qu’une fille me donne un baiser, moi qui depuis les mois où je me prostitue pensais avoir fait le tour du sexe.
Elle me dévêt, se dévêt et m’entraîne nue dans ma chambre emmenant avec elle le sac où nous avons mis les objets sexuels.

- Tu vas me montrer comment on s’en sert.

Avant, elle me place dos appuyé au dossier du lit, viens entre mes cuisses qu’elle a écartés pour me sucer le clitoris.
Je démarre au quart de tour alors qu’avec mes clients quand ils me font minette, je jouis rarement, bien que cela m’arrive quand le garçon est doué.
Je me tords de plaisir, comme tout est une première dans ces rapports saphiques, ma main part explorer la chatte de ma jolie maîtresse.
Je suis étonnée de son clito très développé plus gros qu’un haricot sec.
Nous roulons sur le lit, comme elle est très agile ma bouche vient à la rencontre de ce clito que je prends facilement dans mes doigts pendant que sa bouche et surtout sa langue vienne pénétrer ma grotte.
Nous effectuons un magnifique 69 qui dure de longues minutes et qui m’apporte un bel orgasme.
C’est le premier avec un partenaire bien que certains soirs mes godes me permettent de m’exploser alors qu’avec mes clients, il est rare que j’atteigne ce degré de plaisir.
Chaque fois que je me masturbe, j’ai l’impression que malgré les nombreuses passes que j’ai faites, je reste une femme capable de prendre du plaisir.

Aurélie sans le savoir me fait un joli cadeau me rendant ma virginité même si elle est féminine surtout quant à son tour un orgasme aussi fort que le mien la secoue.

- C’est bon de jouir mon cœur, je te suis redevable, passons aux travaux pratiques.
Mets-toi en position de levrette.

Elle le fait, je prends un gode de verre long de 30 centimètres et avant de l’introduire à l’intérieur de sa chatte, je la lèche du vagin à son périnée et pour finir dans son anus que je taraude avec ma langue.

- Qu’est-ce que tu fais à ma rosette c’est divin ?

Je relève la tête dans l’impossibilité de faire deux choses à la fois.

- Je te fais une feuille de rose, de nombreux clients apprécieront quand tu les suceras et que ta main les masturbera.
Tu leur feras avec ta langue ce que j’ai t’ai fait, ils reviendront en courant.

Premier teste positif pour la candidate, à aucun moment elle me dit que cette pratique est sale ou dégradante.
Je présente le gode consti de plusieurs boules à cet anus que je viens de lubrifier et j’enfile la pointe moins grosse que mon petit doigt.
Je sais que sans être préparé la sodomie peut être un cauchemar pour la femme comme cela a été le cas avec mon troisième client.
Dans un premier temps, j’ai refusé vu sa taille et surtout son diamètre qu’il souhaitait m’enfiler dans le rectum.
Mon intérêt pour l’argent que me procure la prostitution m’a fait changer d’avis quand il a sorti 2 000 € de plus et que j’ai bêtement accepté par vénalité.
Il a réussi à tout me rentrer mais j’ai eu mal au cul pendant huit jours et deux jours plus tard un autre de mes clients voulant me prendre par le même endroit s’est vu refuser l’entrée.
Sans oublier qu’il avait des oursins dans les poches et que le supplément que je lui ai demandé, lui a semblé saugrenue.
Mais je me souviens en avoir déjà parlé.

Le cône de verre est entré jusqu’à son premier tiers et Aurélie pas encore devenue Véronique commence à émettre des borborites explicites de ce qu’elle ressent.

Je le fais sortir et le présente à sa bouche pour qu’elle le suce afin de le lubrifier et quand je juge qu’il est prêt, je le replonge en le poussant plus fortement jusqu’à deux boules de la fin.
Elle a dans les fesses la moitié de ce que mon client ma mit ce jour-là, j’aurais dû lui placer la boule en bouche, car elle crie.

- Guénaelle tu me coupe en deux.

Je prends un des godes vibrants avec stimulation du clitoris et pris par les deux côtés ce qu’elle a refusé de faire à son copain elle a un orgasme ponctué de.

- Oh, oh, oh.

J’aurais aimé qu’elle me rende la pareille immédiatement mais sa jouissance a été tellement forte qu’elle semble tourner de l’œil.
C’est au matin en me réveillant que je sens que l’on m’écarte mes grandes lèvres et que mon clitoris est enfin stimulé.
Ce mot oh, oh, doit faire partie des mots qu’aiment les lesbiennes, car à mon tour je les exprime.

- Oh, oh, oh.

Pour une première dans le monde de Saphos, ma maîtresse me comble.
J’espère que ce soir Pierre sera à la hauteur avec son copain et que j’aurais dans le futur une complice sexuelle pour nous faire des clients ensemble.
Souvent les clients demandent deux filles et à ce jour, je travaillais seule en indépendante.
Ce que je découvre ce sont les bains à deux avec de petits jeux sexuels qui entretiennent notre libido et comme je l’ai déjà dit la jouissance allant jusqu’à l’orgasme.
Ensemble nous pouvons nous laisser aller alors qu’avec les clients, il me faut toujours tous contrôler.

Depuis que je me fais mon fric avec ces hommes en mal de sensation, je leur apporte ce que leurs femmes leur refusent tombant neuf fois sur dix dans la routine côté sexe.
C’est nous qui entretenons leurs fantasmes, j’en ai pris mon parti, je suis bien devenue une pute.
J’ai tout compris rapidement c’est pour cela que j’ai une collection de vêtements qui correspond à la plupart de ceux qu’ils émettent.
Elle est sortie chercher les cartes que je déposerais au réceptionniste de l’hôtel où j’ai débuté.
À 18 heures il faut que je lui apprenne à se préparer.

- Aurélie dès que tu seras déshabillé vient dans la salle de bains que je te fasse voir comment te servir de la poire à lavement.

L’hygiène c’est l’A.B.C de mon métier c’est qu’une passe ou une nuit se fond toujours dans une hygiène parfaite, ça j’y tiens.
Je la maquille juste ce qu’il faut pour souligner sa beauté et à 19 heures 30 nous descendons direction la gare de Lyon avec le taxi que j’ai commandé.

Il est 19 heures 55 quand je lui fais prendre l’ascenseur évitant la réception grâce au SMS que Pierre m’a envoyé me donnant le numéro 222 où ils sont arrivés.
Je toque, Véronique va me faire voir si elle a la trempe de se payer sa pharmacie avec sa bouche, sa chatte et son anus…

Fin de la saison I.
La suite nous dira si nos deux jouvencelles atteindront leurs buts, même si pour y arriver elles vont se servir de leurs intimités.

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